Gérald Besse

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    Parler de terroir revient à évoquer plusieurs facteurs.
    Tout d’abord, le sol de chaque parcelle – bien différent en fonction de son héritage dû à l’altitude, l’exposition, la déclivité.
    Le climat, qui, quant à lui, est influencé par les courants de vallée. La pluviosité peut en particulier varier d’un endroit à l’autre du vignoble et influencer la croissance de la vigne.
    Pour finir, l’adéquation entre le cépage et l’endroit où il est planté.
     
    Les vignobles de Bovernier et Martigny, avec leur pluviométrie moyenne de 700 mm, peuvent souffrir de sècheresse certaines années et disposer d’eau en quantité suffisante d’autres années. Les pentes – avec une moyenne de 55% – assurent un bon ensoleillement, principalement en automne, lorsque le soleil est bas dans le ciel.
     
    Le vignoble de Martigny se situe entre la couverture rocheuse du massif du Mont-Blanc et le massif cristallin de l’Arpille. Les sols du vignoble sont composés de schistes calcaires, d’éboulis de schistes cristallins et de moraines. 
     
    De manière générale, on peut dire que le sommet du vignoble, côté ouest, est influencé par les éboulis de schistes cristallins de l’Arpille. Ce sont des sols jeunes et peu profonds. Le fond du vignoble est constitué de moraine et d’éboulis de schistes calcaires et cristallins.
     
    Enfin, du côté de l’éperon de la tour de la Bâtiaz, les sols sont composés de schistes calcaires. Ces schistes font partie de la veine calcaire partant de la Bâtiaz en direction de la Forclaz.
     
    Le vignoble de Bovernier se trouve au centre du massif cristallin du Mont-Blanc. La roche est toutefois recouverte de sédiments glacio-lacustres, héritage d’un lac formé dans la vallée en fin de période de glaciation. Des éboulis de gneiss et de schistes cristallins du massif du Mont-Blanc sont mélangés à ces sédiments.